Guy François Becq derrière sa raquette de tennis

Entrevue avec Guy Francois Becq du blog Mon Tennis autrement

©Guy-François Becq

Ce premier podcast de Blog Tennis Concept vous permettra de mieux connaître Guy-François Becq et sa démarche : je respire, je souffle…soleil.

Transcription texte de l’interview

Vincent Bonnin : Pour démarrer cette interview ma première question est toute simple est ce que tu pourrais nous résumer en quelques mots les grandes étapes de ton parcours de coach de Tennis ?

Guy-François Becq : Bien, écoute tout d’abord. J’ai démarré tard, puisque j’ai découvert le tennis à 23 ans en rencontrant Pierre Barthès, alors que j’aidais un ami sur Meudon-la -Forêt, dans un complexe Forest-Hill.
J’aidais cet ami à corder des raquettes et donc, tout en cordant des raquettes, il y a un monsieur qui est venu et qui m’a demandé des renseignements sur des balles qu’il y avait en vitrine. J’étais ravi, je ne connaissais pas plus le sport que ça.
Pour la petite histoire, mon père pensait que j’allais reprendre l’affaire familiale de grossiste en  papeterie-fumeur. Je faisais plutôt des jobs dans le commercial, comme représentant.

Et puis la personne va se changer et il se présente « Pierre Barthès ». Je l’accueille,  j’ai dit « Bonjour Monsieur, je vous souhaite une bonne partie ». Et puis il y a les copains qui viennent me voir  après  « Attends, tu as parlé à Pierre Barthès ? »
« Ah bon », je dis, »c’est qui ça ?
– Il a un centre au Cap d’Agde.
-ah bon, c’est où ça ? »
Et  je vais le voir jouer, en effet ça jouait pas mal.
Après son entrainement,  je terminais de corder une raquette et tout en continuant de discuter avec lui, il me dit : « J’ai bien aimé votre accueil,  je cherche un cordeur à Cap d’Agde, il y a une place pour vous ». Donc, on s’est vu  trois fois dont une fois à Roland Garros.

J’ai décidé, alors, de tout plaquer dans mes affaires. Je travaillais chez Colgate Palmolive, dans une grosse boîte ou  j’avais eu le plaisir d’être retenu car c’est des grosses sélections.
Je dis à mon père « Je vais aller corder des raquettes, je ne vais pas reprendre l’affaire familiale ». Je te laisse imaginer un peu sa tête. Donc je me retrouve au Cap d’Agde en  février 80,  j’étais non classé.

J’adorais le sport, mais je n’avais pas le niveau. Il n’y avait pas beaucoup de raquettes à corder, à ce moment- là, et l’entraineur Francis Rawstorne, un sud-africain, me dit : « prends tes affaires, on va te filer une raquette et  viens jouer avec  nous.» Et je me  retrouve à faire cinq, six heures de tennis par jour.  Ça a été l’apprentissage avec, trois ans après, le diplôme que j’ai empoché en suivant des cours par correspondance,  les tournois pour monter dans les classements tout en faisant mon petit job de cordeur.

Et puis,  j’ai appris, bien sûr,  toute la démarche de Pierre Barthès, travaillant avec lui, deux ans encore. Au bout de cinq ans,  j’ai décidé de partir aux Etats Unis  et là vraiment,  j’avais envie encore plus de faire MA trace et de découvrir comment ils enseignaient le tennis là-bas, tout en mixant avec   l’aventure puisque je suis parti un an avec 5OO dollars et trois adresses !
C’était une belle aventure et puis,  j’ai pu  travailler dans des grands camps de Tennis. J’ai travaillé chez Joan Ramey Ford dans le Kentucky et puis je suis allé chez Harry Hopman en Floride, beaucoup connaissent les entrainements à la Hopman.

Vincent Bonnin : Ah ! Hopman, qui a beaucoup influencé les  méthodes d’entrainement en France à l’époque.

Guy-François Becq : Et puis après  je suis tombé dans un camp à Pinehurst en Caroline du Nord avec un monsieur qui s’appelle Welby Van Horn qui m’apporté aussi  beaucoup de choses.  J’ai été enfin chez Denis Van Der Meer en Caroline du Sud où j’ai appris encore plein de choses.

Donc,  c’est vrai que  fort de tout ça, je suis revenu en France,  c’était en 1986, avec l’idée de démarrer une démarche que j’ai  intitulé  je respire je souffle… soleil voilà,  en gros, un petit peu mon parcours de coach. Enseignant dans des clubs de tennis et mixant des voyages, des rencontres, des lectures,  je me suis passionné  pour tout ce qui touche  au  développement personnel de l’être humain.

J’en ai fait une bande dessinée  à un moment donné de ma vie et ça a été aussi une grande étape dans mon parcours de coach de pouvoir présenter autre chose qu’une approche où on tape  dans la balle, puisque l’on est dans un jeu d’échange et que  ce bel échange il est  avant tout à l’écoute de ce partenaire qui est en chacun  de nous.

Vincent Bonnin : D’ailleurs la BD on peut la télécharger sur ton site, mais on en parlera  un petit peu plus tard.  Donc, ton approche est un peu alternative par rapport à l’approche très structurée de l’époque enseignée par la Fédération Française de Tennis qui a d’ailleurs toujours des méthodes d’enseignement  qui sont un petit peu normalisées entre chaque club. Toi tu te démarques de  ça.
J’aimerais que tu nous expliques  pourquoi tu as l’idée de partir vers des chemins qui sont un petit peu différents  et si tu peux nous expliquer en quelques grandes lignes ce qui différencie ta méthode des méthodes  officielles de la fédération française de Tennis.

Guy-François Becq : Oui, je n’aime pas trop le mot méthode. Pour moi, c’est plus une approche, qu’une méthode. Je préfère parler d’une démarche. Je veux sortir de ces méthodes, qui pour moi, sont encombrantes et qui m’embêtent aujourd’hui. Donc je préfère parler de démarche. Comme je te le disais, j’ai travaillé chez Harry Hopman en Floride et il y avait  les Sanchez, Sabatini, Gomez qui s’entrainaient  sur le court voisin.

Et j’ai vu devant moi un groupe d’adultes d’une quarantaine d’années, dont une femme,  l’entraineur de l’autre côté du filet avec un caddie rempli de balles. Il faisait courir  cette  femme à droite et gauche. En courant derrière la balle rapidement, la femme est devenue toute rouge, essoufflée  et complètement  épuisée. L’entraineur a dit «Stop ! Temps de récupération » et  moi,  c’est évident,   je regardais ça et j’étais scotché parce que je me dis ce n’est pas tout à fait la même chose que ces  Sanchez, Sabatini, Gomez qui s’entrainent à côté. Pour elle, il faut une autre approche, il lui faut quelque chose d’autre.

C’est clair qu’elle s’est avachie sur son siège complètement épuisée, le dos  en premier, parce que  bien-sûr elle s’est mal assise en se précipitant sur la gourde. Enfin bon, c’était complètement  déséquilibré,  ça correspondait pas à grand-chose de correct  à mon sens.  Et puis comme je le disais tout à l’heure, je suis passé chez Welby Van Horn en Caroline du Nord, comme par hasard mais le hasard pour moi n’existe pas.  C’est des coïncidences,  c’est le jeu des rencontres qui se  met en place dans nos vies et donc j’ai eu le plaisir de rencontrer Welby.

Welby, avec qui  j’ai travaillé huit semaines, il me disait : « prenez du temps, prenez des photos ! » Et j’ai trouvé ça très intéressant. Donc tout en travaillant avec lui  il m’a encore plus enseigné dans l’approche qu’il développait. C’était un monsieur d’une soixantaine d’années à l’époque,  je ne sais pas si tu te rappelles, il avait coaché Charlie Pasarell, C’était quand même un bon.

Vincent Bonnin : Qui avait gagné Wimbledon  à l’époque.*

Guy-François Becq : Voilà, il était dans un camp à Pinehurst en Caroline du Nord avec d’ailleurs,  18 terrains de 18 trous de golf autour, c’était impressionnant.
Les terres battues étaient noires et lui, Welby, avec son petit bob, il était là à aller sur tous les terrains. Il nous apportait, son savoir, ce qui était très intéressant. Le camp était sponsorisé par City Bank et donc, il avait tout le staff  qui descendait de New York.

Alors, lorsque je suis revenu en France,  je me suis dit,  il faut que l’on parle d’autre chose que de taper dans la balle. Je me suis dit, c’est marrant mais on n’a pas beaucoup parlé de respiration. Pour moi derrière cette respiration, il y a toute une symbolique.

Donc, quand je suis revenu en France, je  me suis dit, »je vais travailler sur une démarche que j’ai appelé je respire, je souffle  …soleil ».  Avant tout, est née l’idée, qu’en chacun de nous sommeille un fabuleux trésor. Il y a des richesses en chacun de nous et l’idée, à travers la démarche, c’est de mettre en avant ce partenaire, plutôt que de chercher à courir derrière un adversaire ou une balle. Toute la démarche, elle, est  dans l’idée de prendre du temps, des photos, d’ ETRE à l’écoute de ce partenaire qui est  en  chacun de nous. Je ne sais pas si c’est très clair pour toi.

Vincent Bonnin : Alors pour expliquer aux  personnes qui vont nous écouter, j’ai lu sur ton site des commentaires d’anciens élèves. Il y a aussi ça dans la BD. En fait, ils sont étonnés de ne pas être fatigués après le premier  cours, d’avoir presque de l’énergie, alors que d’habitude, ils étaient plutôt épuisés.

Guy-François Becq : Parce que comme je le disais, on court derrière la balle et on se perd derrière des techniques qui sont encombrantes. C’est quelque chose qui vient contrer, qui ne va pas vers  l’évolution, alors que là, au contraire, on  travaille dans le lâcher- prise, on est dans un travail de détente.

Comme on le voit avant,  il y a tout un travail d’approche : l’échauffement, on prend soin de soi. Il y a un travail de visualisation. On parle de routine, de rituel, d’ancrage, ce sont des choses très intéressantes. C’est tout ce travail au niveau du lâcher-prise qui est évident,  car aujourd’hui on sait que rien ne passe en force, que tout se fait dans la douceur, la détente. Et dès l’instant où je vais travailler relâché,  détendu et puis qu’en plus, après,  je vais pouvoir développer une respiration. Cette respiration va pouvoir apporter dans mon coup droit, dans mon revers dans tous mes coups du tennis, un bien être, une harmonie comme on le voit chez  Federer. Cette fluidité, ce  laisser-aller, va m’amener  une activité. Je vais pouvoir transpirer agréablement mais je ne vais pas m’épuiser. C’est-à-dire, je ne vais pas me perdre à courir derrière une balle sans savoir ce qu’il se passe en moi car là on est vraiment à l’écoute, on prend du temps.

Parce qu’au départ, Welby, il nous disait de prendre du  temps, de prendre des photos sur ce qui se passe et ce qui est. On ne va pas griller, les étapes, au contraire, step by step  (pas à pas), on prend le temps. Il  y a la construction de ce building que chacun construit. Mettre en place des bonnes bases, des bases indispensables.

Vincent Bonnin : Donc j’invite mes lecteurs à venir visiter ton blog  Mon tennis autrement et à  consulter tes vidéos qui donnent quelques approches de ta démarche avec  des exercices pratiques à faire que j’ai d’ailleurs commencés moi-même. Je me suis aperçu qu’effectivement au tennis on perd  beaucoup d’énergie entre les coups. On ne se détend pas alors qu’on pourrait se détendre, j’ai expérimenté ça, c’est vraiment très sympa.

Guy-François Becq : Donc, tu as pu expérimenter cette info qui s’appelle : attitude d’attention.
Dans  l’idée qu’on prend le temps de relâcher la main qui tient la raquette, que j’appelle la chef, qui elle a décidé de faire un coup droit ou un revers et l’autre main que j’appelle  la petite copine, l’amie qui vient soutenir la raquette au niveau du cœur et qui permet à cette main directrice, la chef,  de se relâcher.

C’est un  aspect important. Donc on va voir dans le temps de jeu, entre les deux coups,  on peut se relâcher sur le manche comme si on pianotait, on s’amusait sur le manche ou si on ne joue plus, de pouvoir relâcher le bras totalement en laissant la raquette, si possible, tête de raquette en haut.
Tête de raquette en bas, cela fait un peu négatif,  ça fait un peu looser. Donc j’insiste sur la tête de raquette en haut  dans l’idée qu’on relève la tête en toute occasion et on va voir que dans la vie c’est pareil.

Donc le bras, la main, la chef va pouvoir se relâcher le long du corps et ce sera l’occasion de pouvoir lâcher des tas de choses car on sait qu’en match on est pris par des phénomènes de stress, de pressions, donc, c’est encore l’occasion à ces moments –là, de tout relâcher.

Vincent-Bonnin : Alors,  je voulais te parler de tes expressions imagées, prendre des photos  avec les grandes et les petites vacances et les fameux gloutons. Si tu veux en dire deux mots.

Guy-François Becq: le glouton c’est très simple. Tu connais Vincent ?
Il y a un plateau de la  balance, d’un côté il y a Vincent  et dans l’autre plateau de la balance il y a la balle de tennis. Dans la symbolique je l’appelle (cette balle) le glouton, le destructeur. Alors la question que je te pose, Vincent : qui décide à ton avis ?

Vincent Bonnin : Bien, j’aimerais mieux que ça soit moi !

Guy-François Becq : J’espère et  j’invite chacun à prendre position entre le moi profond. Je ne parle pas de l’Ego qui vient pour s’amuser, se détendre prendre plaisir, découvrir,  rencontrer des partenaires, développer tout ce potentiel  qui est en chacun de nous et ce glouton qui n’a qu’une envie c’est te prendre ta respiration et te mettre le stress.
Il n’a qu’une envie, c’est de s’installer dans ce grand canapé chez toi et toi  derrière tu vas être là à dire,  je pourrais prendre un peu de temps pour être, dans ce plaisir d’être. Donc voilà, comme je présente le glouton. Donc je le matérialise par cette balle de tennis.

Je trouve qu’il y a plus intéressant que de courir après une balle de tennis. Il est  plus intéressant d’être à l’écoute de soi, de l’autre, de l’environnement. Il y a une écoute qui est beaucoup plus intéressante.
Tu as parlé aussi de prendre des photos, j’en ai parlé tout à l’heure et donc c’est un temps précieux parce qu’on peut prendre du temps. Mais s’il n’y a pas ces photos sur l’instant T qui nous permet de voir si ce que l’on a fait c’est bien ou pas bien… Dans la vie, on peut avancer pendant des années  sans rien corriger. C’est vrai que ce temps de photos,  il nous permet de faire un point. On parle dans la vie des temps de pause, de retraite, des temps spirituels, on les appelle comme on veut. Le fait de prendre une photo, c’est un moment important de la démarche.

Tu parles  aussi des petites ou des grandes vacances, j’en ai parlé aussi tout à  l’heure. Petites vacances, c’est quand on s’amuse sur le manche, c’est la main qui tient la raquette. Donc, si  je suis droitier, c’est la main droite  qui  s’amuse sur le manche, sachant que la raquette  est tenue, soutenue sans serrer au niveau du cœur avec l’autre main.  Les grandes vacances,  c’est quand la main, vraiment,  relâche complètement  la raquette et qu’elle se détend le long du corps.

Vincent Bonnin : Bien, en résumé ton blog  s’appelle  Mon tennis autrement  ta démarche  je respire, je souffle… soleil. Qu’est-ce qu’on va voir sur ton blog dans les  mois à venir?  Tu peux nous donner envie ?

Guy-François Becq : J’offre tout ce travail qui a été fait autour de la BD,  avec différentes personnalités. Noah avait été là au départ parce que Yannick Noah avait accepté en 1995 d’être le personnage principal. Malheureusement, je  ne trouvais pas de dessinateur,  il est  parti pour la chanson en 2000. Donc j’ai  décidé d’aller jusqu’au bout et ça a été un gros baroud, un gros parcours. J’ai fini ma BD en 2003, en trouvant  un dessinateur. Et donc,  j’ai  créé ma maison d’édition  Plaisir d’être.

Cette BD, j’ai le plaisir de l’offrir aujourd’hui gratuitement en téléchargement sur le blog, puisque le tirage papier il n’y en a plus. C’est un document qui fait 76 pages, qui traite à travers deux familles de classes sociales différentes, un petit peu de tout ce qu’on vient de dire.
Les tensions de la vie de tous les jours qu’on retrouve sur le terrain, la proposition à travers ce club soleil, quelle que soit l’activité. Donc  le tennis là,  est pris en outil précieux pour faire passer un message.  Chacun est invité à se détendre, à travailler dans ce que j’appelle l’attitude d’attention et  je respire, je souffle,  les deux thèmes que je développe dans cette BD.

On va voir, bien sûr, que sur le terrain, dans la vie de  tous les jours, à l’école, en famille, dans les quartiers  ça va être  un plaisir d’être.  Donc,  j’invite tous ceux qui veulent, à télécharger gratuitement cette BD et me dire ce qu’ils en pensent, puisqu’il  y a bien sûr un espace commentaire dans mon blog. Je suis ravi de pouvoir répondre à tous ces commentaires. Aujourd’hui dans le blog,  il y a toute la présentation du coup droit et du revers  qui a dû  déjà passer en vidéo et en article. On continuera, puisqu’on va bien sûr passer en revue tous les coups du tennis. Sachant que pour le moment on est dans une première phase, c’est-à-dire qu’on va revenir sur le coup droit et le revers  pour développer une deuxième phase.

On sait qu’il  y a une démarche et que la démarche  c’est le step by step  (pas à pas), donc il est hors de question d’aller plus vite que la machine et que pour le moment il est question de planter le décor sur tous les coups du tennis.
Il  y a plusieurs phases, c’est d’ailleurs pour ça, pour la petite histoire,  que je voulais faire 6 BD avec l’idée qu’à la sixième on arrive  à Roland Garros pour lever la coupe. Puisqu’on passe dans cette démarche cette évolution on va voir qu’au bout du compte, on va tous gagner et qu’on va pouvoir  lever la coupe que ce soit celle de Rolland Garros ou une autre.  Tout le monde aura compris que c’est la victoire qu’on va développer en  chacun de nous.

Vincent Bonnin : Victoire sur les gloutons !

Guy-François Becq : Les gloutons je n’en parle même plus moi (rires) ! Le glouton voudrait bien qu’on s’occupe de lui. Moi ce qui m’intéresse, c’est Vincent qui est là et tous ceux qui nous écouterons,  avec un grand plaisir de prendre soin de toutes ces richesses qui sommeillent  en chacun de nous.

Merci Vincent de m’avoir accueilli sur ton blog

Vincent Bonnin : Merci Guy-François, Je rappelle que Guy-François Becq  c’est un blog   mon tennis autrement avec une BD gratuite à télécharger, des vidéos et des conseils à suivre.

*En fait, Charly Pasarell n’a jamais gagné Wimbledon. Il a seulement atteint les quarts de finales en 1976. Mais, il a été n° 1 américain en 1967 et a disputé plusieurs campagnes de Coupe Davis pour son pays. Il est surtout connu du grand public pour avoir créé le célèbre tournoi professionnel d’Indian-Wells dans le désert californien, au milieu de nulle-part.

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Posté par Vincent

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3 commentaires
  1. Sylviane 14 janvier 2012 at 10 h 24 min - Répondre

    Bonjour Vincent,

    Bravo pour cette interview pleine d’enthousiasme et de vie.

    Je connais vos deux blogs et les apprécie même si le tennis n’est pas ma tasse de thé mais j’aime la façon dont vous présenter ce sport à vos lecteurs.

    En effet comme le dit si judicieusement Guy François il n’y a pas de hasard et je glane toujours des choses intéressantes sur vos deux sites.

    Une remarque pour les deux, c’est la passion qui vous anime et que l’on sent dans vos articles et comme je le disais sur un autre blog PASSION + PERSEVERANCE = RÉUSSITE

    Merci à vous deux

  2. Laurent 16 avril 2013 at 8 h 00 min - Répondre

    Bonjour et merci pour cette interview.
    Vincent tu nous emmènes « souvent » sur les chemins de traverses… Ronan Lafaix… Guy-François Becq… pour notre plus grand bonheur.
    Il pourrait être intéressant de faire un papier sur les « méthodes plus classiques » afin que tes lecteurs puissent comparer.

    J’ai essayé d’ouvrir http://www.mon-tennis-autrement.com/ …. sans succès 🙁

    • Vincent Bonnin 17 avril 2013 at 22 h 10 min - Répondre

      Bonjour Laurent,

      Ta remarque est intéressante.
      Si tous les entraîneurs que j’ai interviewé sont en possession de leur diplôme officiel de la fédération française de tennis (Ronan Lafaix, Guy François Becq, Paul Quetin), c’est vraiment leur spécificité à tous qui m’intéresse.

      Le tennis est un sport tellement riche, que j’ai l’impression que chaque enseignant a sa propre vision de ce sport. C’est pourquoi, faire un papier sur la méthode officielle d’enseignement du tennis me semble difficile tant les interprétation diffèrent d’un expert à l’autre.

      Tu peux néanmoins compter sur moi pour multiplier les intervenants qui s’exprimeront sur Blog Tennis Concept. Cela permettra à un large spectre d’opinions de s’exprimer.

      http://blog-tennis-concept.com/category/rencontre-dexpert/

      Si Guy François peut te sembler un peu borderline par rapport au enseignants traditionnels, il a eu le mérite de faire des recherches très intéressantes sur le relâchement que l’on pouvait acquérir entre les frappes de balles et sur l’énergie que l’on pouvait economiser durant ces moments là.

      Je pense que le site de Guy-François est en dérangement pour une période indéterminée. Je te propose un lien vers sa chaine U-tube et vers ses vidéos toujours en ligne.

      http://www.youtube.com/user/MonTennisAutrement

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